Secte du Shaâmane Anabaane
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 RENNES

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Nicolas Breizhman 1er
grand prêtre de la galette saucisse
Nicolas Breizhman 1er


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MessageSujet: RENNES   RENNES EmptyVen 22 Sep - 22:17

I love you Un petit topic à notre ville préférée I love you

Pour commencer de topic en beauté, un petit (mais long article sur cette belle ville).

Bombtrack, Cellen, sortez vos mouchoirs, c'est tellement beau ce qu'on y raconte!

Pour les autres, Prenez 5 minutes pour lire l'article en entier, vous connaitrez mieux cette ville que vous ne connaissez pas I love you .

L'écrivaindevrait avoir un goncourt pour cette ode.

Citation :
Travailler et vivre à Rennes
La dynamique de l'ouest

par Marcelo Wesfreid

Une université réputée, un tissu économique diversifié, une offre culturelle riche, une qualité de vie appréciable... La capitale celte attire les cadres venus d'ailleurs. Et les Bretons qui ont le mal du pays


Deux fois par an, à quelques mètres du parlement de Bretagne, c'est la grand-messe. Les nouveaux habitants de Rennes sont conviés par la mairie à une visite guidée du centre-ville, avec ses ruelles sinueuses bordées de maisons à pans de bois. Après avoir quitté ce décor tout droit sorti du Moyen Age, la petite troupe prend la direction de l'Opéra pour un concert lyrique, suivi d'un discours de bienvenue d'Edmond Hervé, l'inoxydable maire PS de la capitale bretonne, aux manettes depuis 1977.


Si la municipalité bichonne ces néo-Rennais, c'est que l'enjeu est de taille. Selon les projections des démographes, 60 000 personnes sont attendues sur les bords de la Vilaine au cours de la prochaine décennie. Un chiffre qui sonne comme un plébiscite pour cette agglomération de 270 000 âmes, dont la population croît à un rythme de 1,2% par an.

58 000 étudiants et 4 000 chercheurs


La capitale bretonne doit d'abord son essor à sa vie universitaire. Deux facultés, trois campus, 28 grandes écoles et instituts: Rennes a misé sur la matière grise pour se faire une place au soleil. Avec 58 000 étudiants et 4 000 chercheurs, l'ancienne bourgade celte de Condate, transformée en pépinière intellectuelle, attire des profils très qualifiés.


Stéphane Paquelet, ingénieur chez Mitsubishi Electric, est l'un d'eux. Le jeune homme, X-Télécoms de 31 ans, a été embauché par la firme japonaise en janvier 2002 pour travailler sur les télécommunications à très haut débit. Une technologie d'avenir. Avec ses collègues, il occupe un petit édifice perdu dans une forêt de labos privés, d'écoles d'ingénieurs et d'entreprises high-tech. De nombreuses inventions sont sorties du technopôle de Rennes Atalante Beaulieu, au nord-est de la ville. A commencer par le célèbre Minitel, en 1984. La proximité entre établissements crée une ambiance à part. «Tout le monde se côtoie: je n'ai qu'à traverser la rue pour rejoindre le thésard que j'encadre. L'établissement dans lequel il travaille, l'Insa [Institut national des sciences appliquées], se trouve en face de mon laboratoire, raconte Stéphane. Le rapport au temps est différent, aussi. Je peux monter une réunion en deux heures, car les collègues sont disponibles.»


En quittant la région parisienne, où ils vivaient, le chercheur et sa femme ont troqué leur appartement de Clichy, dans les Hauts-de-Seine, pour une petite maison du centre de Rennes. «Le midi, je prends la voiture et je rentre déjeuner chez moi. Une révolution!» Quant aux week-ends du couple, ils sont chargés: visite des petits ports de pêche, grand bol d'air au cap Fréhel et escapade en bateau avec des amis à Concarneau.


Intellectuelle et ludique, terrienne et proche de la mer, Rennes offre des conditions de vie remarquables, comme le montre sa jolie performance au palmarès de la chanson des villes préférées des cadres, que L'Express a publié le 17 octobre 2002: 5e au classement général, 8e pour la qualité de vie. «Il fait même plus beau qu'à Paris», assure Olivier Blanchard, 29 ans, responsable export aux Pâtisseries gourmandes, une société spécialisée dans le quatre-quarts et le palet breton. Une illusion d'optique? Non. Les statistiques lui donnent raison: 1 851 heures d'ensoleillement par an, soit deux jours de mieux qu'en Ile-de-France. C'est à Rungis (Val-de-Marne) que le jeune diplômé de l'ESC La Rochelle a fait ses premières armes, dans la commercialisation de produits de la mer. De la Bretagne, Olivier Blanchard ne connaissait que les grossistes à qui il commandait des stocks de poissons et de coquilles Saint-Jacques. Jusqu'au jour où il a sauté le pas, avec femme et enfant, changé d'employeur et emménagé à Rennes, dans le quartier Clemenceau.

«A deux heures des centrales d'achat parisiennes»


Le siège social de la société qui l'emploie depuis bientôt deux ans est basé à Loudéac (Côtes-d'Armor). Mais cette entreprise d'agroalimentaire de 450 personnes a établi son équipe de commerciaux au confluent de l'Ille et de la Vilaine. Parce que «Rennes est la porte d'entrée de la Bretagne, un point de passage obligé avec le reste de la France, explique le jeune homme. Pour notre activité, il était normal d'être ici, à deux heures des centrales d'achat parisiennes».


Fini le temps où la capitale régionale souffrait de son enclavement. Aujourd'hui, on parcourt les 344 kilomètres qui séparent l'agglomération rennaise de Paris en deux heures de TGV. Enfin, Nantes n'est qu'à une heure de route, via une quatre-voies directe, et surtout sans péage... Une gratuité - propre à tout le réseau - dont la Bretagne serait redevable à la duchesse Anne. En effet, un décret signé de sa main justifierait ce privilège. François Rouault, directeur du développement économique de la communauté d'agglomération, balaie l'argument historique d'un revers de main: «Du folklore, tout ça. Les collectivités locales ont mis la main à la poche pour financer les routes. Il fallait absolument être accessible. Le développement de la région en dépendait.»


Un impératif toujours d'actualité? Sans doute, à en juger par les vives protestations de la mairie après la remise à plat du projet de ligne TGV Le Mans-Rennes. Prévu à l'horizon 2010, ce tronçon à grande vitesse devait faire gagner trente minutes aux voyageurs sur un trajet vers Paris. Pour des raisons budgétaires, le gouvernement Raffarin a repoussé l'échéance. Nouvelle date: probablement vers 2017... Elus et décideurs locaux promettent de rester mobilisés. Car «le déplacement du centre de gravité de l'Europe vers l'est représente un vrai défi, analyse François Rouault. Un danger, également, celui d'être relégué à la périphérie, si rien n'est fait». Conscient du péril, Edmond Hervé a créé, il y a trois ans, la Conférence des villes de l'Arc atlantique, une association qui réunit des cités de plus de 100 000 habitants, de l'Ecosse à la péninsule Ibérique, autour d'un objectif commun: «Eviter un affaiblissement de l'Ouest.»


Pour exister sur la scène continentale, Rennes et Nantes, les deux métropoles concurrentes, ont par ailleurs décidé d'enterrer la hache de guerre et de coopérer en construisant ensemble un aéroport international à Notre-Dame-des-Landes, à 80 kilomètres de la capitale d'Ille-et-Vilaine. Autour des deux cités, un pôle régional prend forme. «Rennes reste la capitale historique, politique et administrative du Grand Ouest, note Emmanuel Louzier, directeur du cabinet de recrutement Michael Page Ouest. Nantes, elle, se positionne comme une ville plus internationale, à l'économie plus diversifiée. Cette dualité tourne parfois à la rivalité. Il suffit d'assister à un match de foot Nantes-Rennes pour s'en convaincre...»

La suite tout de suite


Dernière édition par le Ven 22 Sep - 22:18, édité 1 fois
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Nicolas Breizhman 1er
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MessageSujet: Re: RENNES   RENNES EmptyVen 22 Sep - 22:18

Citation :
Pour marquer sa différence, la ville du parlement de Bretagne a d'autres atouts dans son jeu. A commencer par sa vie culturelle, foisonnante. Rennes ne laisse en effet guère de temps pour les soirées télé. Danse, cinéma - le festival Travelling - littérature - le Goncourt des lycéens - et musique - les Transmusicales - sont omniprésents. Les néo-Rennais sont ravis. «Je n'étais venue qu'une fois par ici, pour les Transmusicales, qui rassemblent des groupes de rock, de hip-hop et d'électro, se souvient Christine Marandon, responsable régionale de la communication à TDF, le géant des infrastructures de télécommunications. Sur place, j'ai découvert d'autres temps forts comme Mythos, un formidable festival de contes et de légendes», poursuit la pétillante trentenaire, qui a quitté le siège parisien de TDF pour les rives de la Vilaine en 2001. Cet été, en raison du conflit des intermittents du spectacle, certaines manifestations comme les Tombées de la nuit - où les arts de la rue sont mis à l'honneur - ont été annulées. «Il fallait éviter les incidents et exprimer notre solidarité», justifie Edmond Hervé.

«Rennes attire des cadres, d'abord grâce à son développement économique»


Cette ardeur créative, qui colle aujourd'hui à l'image de la ville, n'a pas toujours existé. Jean-Bernard Vighetti, figure haute en couleur de la vie culturelle bretonne et directeur de l'office du tourisme depuis vingt-trois ans, n'a pas oublié: «Quand je suis arrivé, en 1980, on m'a dit: ''Ici, il n'y a rien qui prend, sauf le feu.» Les Rennais n'avaient pas foi en leur ville. Vers le milieu des années 1980, l'état d'esprit général a évolué: les habitants se sont peu à peu réapproprié leur cité.» Entre-temps, le centre historique s'est offert une cure de jouvence, avec la rénovation de 30 kilomètres de façades médiévales. Bretons de souche et estivants de passage ont découvert un patrimoine architectural resté longtemps dans l'ombre.


Mais le charme de la ville ne fait pas tout. «Rennes attire des cadres, d'abord grâce à son développement économique», affirme François Fillatre, directeur de l'Association pour l'emploi des cadres (Apec) à Rennes. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Les emplois qualifiés ont augmenté de 35% en dix ans. Quant au chômage, il frise les 7% sur la zone d'emploi rennaise. Résultat: l'Ille-et- Vilaine a été la locomotive de la Bretagne pendant vingt ans, assurant à elle seule la moitié de la croissance régionale. En 2003, alors que l'économie française patine, Rennes semble tirer son épingle du jeu. Les recrutements de cadres devraient baisser, mais moins qu'ailleurs: le recul serait de 8% (chiffres Apec) contre 11% dans l'ensemble de l'Hexagone. Merci les universités, les administrations, les banques. Les services font de la résistance.


Autre secteur clef du dynamisme local: l'automobile. PSA Peugeot Citroën se plaît en Bretagne. Les futurs modèles, appelés à remplacer les 406, 407 et C 5, sortiront bientôt des lignes de montage du plus gros employeur privé de la région - 9 200 salariés, dont 550 cadres. Déjà, une nuée de sous-traitants s'établissent en face des hangars du constructeur. A commencer par Visteon, une entreprise américaine spécialisée dans la fabrication de portières, qui vient d'embaucher 450 personnes pour faire face à la demande.


Emblème de cette activité florissante, l'usine Citroën, comme on l'appelle encore, est une institution dans la région. «Elle a vraiment marqué les esprits, tout le monde m'en parle», constate Vincent Huc, chef de projet en ressources humaines chez PSA Peugeot Citroën, fraîchement débarqué dans l'Ouest. A 28 ans, l'ancien des Arts et métiers a quitté les bureaux parisiens de l'avenue de la Grande-Armée, près de l'Arc de triomphe, pour la zone industrielle du sud de Rennes. Sacré changement de décor. «Je voulais avoir une expérience du terrain. Je ne suis pas déçu», plaisante le jeune homme, qui avoue se perdre parfois dans le dédale des entrepôts.

Victime du succès

La bonne santé de cette industrie contraste avec le ralentissement dans les télécoms. «Les grands donneurs d'ordres, comme France Télécom, ont fermé le robinet des commandes et les sociétés du secteur souffrent», relève François Rouault. Corinne Bourdet, porte-parole du technopôle Rennes-Atalante, se rappelle l'effervescence de ces dernières années, «quand les porteurs de projets se bousculaient au portillon» pour intégrer le complexe scientifique. Aujourd'hui, les candidats se font rares. Présent sur le site, l'équipementier des télécoms Alcatel a réduit d'un tiers ses effectifs. Dans le même temps, Thomson Multimédia abandonnait un centre de recherche. Les autres font le dos rond en attendant l'accalmie. «La mairie aurait dû jouer la carte de la diversification pour éviter ce type de crises», déplore Loïck Le Brun, chef de file (UMP) de l'opposition.


Difficile, en effet, de trouver chaussure à son pied quand on n'est ni ingénieur ni enseignant. «Venir ici a été un vrai pari professionnel, souligne Olivier Blanchard. Car les postes de commerciaux à l'exportation ne courent pas les rues!» Estelle Fequet-Bardoult* aussi a dû s'accrocher pour arriver à ses fins. Cette Bretonne d'origine, mère d'un petit garçon de 3 ans, avait le mal du pays. Contrôleuse de gestion en Ile-de-France, la jeune femme de 31 ans consultait chaque samedi le site Internet d'Ouest Job, un portail consacré à l'emploi en Bretagne. En vain. «Les grosses entreprises susceptibles de recruter des profils comme le mien ne sont pas nombreuses», regrette Estelle. En janvier 2002, fin du suspense. La chambre des métiers, une structure de formation installée sur le campus de Ker-Lann, à 15 kilomètres de Rennes, l'a embauchée comme responsable administration et gestion du pôle d'enseignement.


Commence alors, pour Estelle, la quête d'un logement. Ou plutôt le parcours du combattant. Victime de son succès, Rennes connaît une flambée des prix de l'immobilier qui en fait l'une des mé- tropoles les plus chères de France. Le prix du mètre carré avoisine 1 700 € et grimpe à 2 300 € dans le neuf. «Je faisais la tournée des agences, sans rien trouver d'abordable», se souvient la jeune femme. «Ç'a été la douche froide, renchérit Marc Posnic, qui débarquait de Nantes. On pensait emménager en centre-ville, mais c'était trop onéreux. On a donc changé notre fusil d'épaule.» Avec sa famille, ce directeur des ventes chez EDF s'est installé à une dizaine de kilomètres de la place Sainte-Anne et du parlement. Comme lui, nombre de nouveaux arrivants trouvent refuge de l'autre côté de la rocade, dans les communes résidentielles de la première couronne. Parmi les destinations les plus prisées: Cesson-Sévigné, Saint-Grégoire et Bruz.


Un choix judicieux. Ces petits bourgs, pour certains perdus dans la verdure, sont en fait à quelques minutes de la place de la Mairie et de l'Opéra. L'explication? La route vers le vieux Rennes file tout droit à travers une ceinture verte qui entoure la ville. «En travaillant main dans la main depuis plus de vingt ans, les 36 communes de l'agglomération sont parvenues à sauvegarder cet espace non bâti, s'enorgueillit Pierrick Massiot, premier adjoint de la capitale bretonne. Nous avons réussi cette gageure de ne pas avoir de banlieue.» Résultat: à Rennes, la campagne n'est jamais très loin du centre. «C'est sûr, c'est une ville facile à vendre aux candidats», reconnaît, tout sourire, Jean-Marie Chassé, directeur du cabinet de recrutement Théodore Search.


Stéphane Dauphin, 32 ans, natif de la région, n'a pas eu besoin d'être convaincu. La cité gauloise, ce professionnel de l'immobilier d'entreprise la connaît par cœur. Comme beaucoup de Bretons, il est parti tenter sa chance à Paris après ses études. «Mais la mer me manquait et, chaque week-end, c'était une libération de rentrer ici», se souvient-il. Embauché chez DTZ Jean Thouard, il a monté cette année une antenne de la société en Ille-et-Vilaine et se réjouit d'être rentré au bercail: «A cause des bouchons, il m'était difficile, à Paris, d'avoir plus de trois rendez-vous dans la journée. Ici, je peux en prendre six, et les rapports avec les clients sont nettement moins formels.»


Tel Stéphane, «de nombreux Bretons reviennent dans la région après une première expérience à l'extérieur, en général en Ile-de-France, observe François Fillatre, de l'Apec. Ils rentrent, attirés par la qualité de vie de l'Ouest.» Pour leurs enfants, ils trouvent d'excellents lycées, qui affichent des taux de réussite au bac supérieurs à 85%. Seule ombre au tableau, déplore Loïck Le Brun, «la moindre crèche croule sous les demandes».


«Le Breton qui rentre chez lui est le profil que nous recherchons et que les entreprises nous demandent», souligne le recruteur Jean-Marie Chassé, en permanence branché sur le site Internet des Bretons de l'extérieur (www.obe.fr). Réputé travailleur, pragmatique, droit, l'autochtone serait le candidat idéal à certains postes... Une solidarité - un esprit de clan? - qui fait grincer les dents de certains arrivants étrangers à la région. Mais la greffe prend plutôt bien. La preuve: les Bretons d'adoption sont légion. «Ils mettent du temps à vous donner leur amitié, mais, quand ils le font, la relation est solide», résume une fine connaisseuse des mentalités locales. Le regard rivé sur les encorbellements de la rue de la Psalette, les néo-Rennais invités par la municipalité à la découverte de la ville sont, pour l'heure, bien loin de toutes ces questions.

BRAVO MARCELO !!
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Cellendhyll
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MessageSujet: Re: RENNES   RENNES EmptyVen 22 Sep - 23:15

que dire après ceci ...

si ce n'est que effectivement rennes n'est qu'a 1h de la mer et encore ...Cool
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Nicolas Breizhman 1er
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MessageSujet: Re: RENNES   RENNES EmptyVen 22 Sep - 23:20

rhha j'ai chialé quand ils parlent de Beaulieu.
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Bombtrack
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MessageSujet: Re: RENNES   RENNES EmptyVen 22 Sep - 23:23

Cet homme est dieu incarné

pire que besnard de canal + Cool Cool Cool Laughing
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